dimanche 18 mars 2012

Par-delà l'écharpe d'Iris

Il n'y a pas une personne que je connaisse qui n'aime pas cette chanson, si pénétrante, ode qui fait du rêve un voyage à ce point. J'ignorais qui l'interprétait, à présent je sais que la suave voix semblant surgir des confins qui porte ce simple et chaud message, c'est celle d'Israel Kaʻanoʻi Kamakawiwoʻol, décédé en 1997. J'imagine cet homme, à présent, dans son domaine d'azur, se pencher sur le berceau vagissant de l'humanité, afin de lui chanter cette berceuse aux vertus émollientes pour l'âme. Je n'avais jamais vu les images qui se rattachaient à cette poésie du coeur. Les voici. Je les partage avec vous, comme on l'a fait avec moi, hier. Après m'avoir montré son ukulélé, petit luth à quatre cordes dont le seul nom suffit à convaincre de l'intérêt qu'on doit lui porter, il m'a fait voir cette vidéo.


3 commentaires:

  1. Quelle magnifique interprétation! J'en ai des frissons partout, mon coeur s'envole et mon âme est transportée! Cette berceuse aux vertus émollientes pour l'âme, quelle belle poésie!
    Les images sont magnifiques et appellent au large.
    Grand merci pour ce partage.

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  2. Très belle chanson, et oui je ne connais personne qui pourrait ne pas l'aimer, ça sera nul! :)

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  3. C'est un plaisir que d'être le passeur de cette marchandise céleste. Je ne suis pas surpris que ça touche vos deux âmes tendres, héhé.

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