Le chalet spirituel de G.L.
Recueillement littéraire. Territoire de l'introversion. Spirituel (définition Larousse): « Qui relève du domaine de la pensée, de l'esprit. »
samedi 18 juin 2022
jeudi 16 juin 2022
Si j'étais grossier et primesautier, je dirais de cet événement littéraire qu'il est « malade en super fucking criss »
jeudi 9 juin 2022
Merci à la librairie Zone Libre
Un énorme merci à la librairie Zone Libre, au 262 Rue Sainte-Catherine E, Montréal, de tenir en consigne et de vendre mon recueil Exit l'or facile !
Plus particulièrement, merci à la libraire Mireille Frenette, qui a été très généreuse, et qui m'a prodigué maints conseils.
En achetant mon recueil, tu fais une pierre deux coups : tu encourages un poète ABSOLUMENT FORMIDABLE et une artiste visuelle, Myriam Wares, au talent SUBLIME. Acheter mon recueil, c'est acheter deux œuvres d'art combinées. 😊
Va te le procurer, ce petit recueil, et donne-m'en des nouvelles !
J'aime les artistes qui transcendent leur genre
Je n'aime pas le slam, mais j'adore David Goudreault.
Je n'aime pas le rap, mais kiffe Eminem.
Je n'aime pas la poésie en vers du 19e siècle, mais j'adule Rimbaud.
Je n'aime pas le surréalisme, mais tripe sur Dalí.
Je n'aime pas les brutes alcooliques, mais j'aime la prose de Bukowski et Mistral.
Bobin, dans une fine petite citation que j'ai déjà publiée par ici, dit qu'il recherche une présence, « l’excès du réel qui ruine toutes les définitions ».
Il faut faire un avec son art, afin de se et le multiplier.
J'aime les artistes qui transcendent leur genre ou leur mouvement.
mardi 7 juin 2022
lundi 6 juin 2022
Après m'être délié les doigts
Ce soir, mon écriture est déconstipée, elle est mouvante, précipitée, belle, enhardie, à fleur de peau, toute de poils hérissés, grotesque, immense, incisive, jazzy, super cool, futée sans être docte. Merci : la colère (et le matcha latte).
S'injecter du thé et du décor
Dans un café, l'oreille transportée par des playlists dont je ne parviens pas à épingler les chansons, un matcha latte qui m'emmousse et me verdit les lèvres, le cerveau guetté par une hypomanie menue, je me dis : il est temps de prendre la vie par les couilles et de lui montrer le chemin.