mercredi 28 mars 2012

J'y crois. L'homme étouffe sa spiritualité.


2 commentaires:

  1. Au-delà de la formule, légèrement psycho pop bonbon, il y a de quoi nourrir réflexions. L'idée du "boss", du tout cru au tout cuit par magie, une recette pour faire saliver les brebis en quête de berger, qui laisse en appétit les loups affamés.

    Reste que sur le fond, lâcher du leste sur l'esprit peut ouvrir les portes de nirvanas insoupçonnés. « L'humain étouffe sa spiritualité » , la piétine bien des fois, malheureusement. J'y crois. J'y crois aussi. Le coeur a des vues sur l'esprit que ce dernier ne pourrait voir, et vice-versa. De l'équilibre parfait de ces univers naissent d'extraordinaires expériences.

    Un coeur gorgé d'amour et un esprit en paix accoutument les yeux à la lumière.

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  2. Cher Michael, tu sculptes aussi habilement dans les mots que certains sculpteurs dans la glace.

    Oui, c'est de la vulgarisation, ce qu'elle fait. Je suis d'accord. D'accord par ailleurs que ça pourrait endoctriner des âmes faibles.

    Je pense qu'au-delà du positivisme, il existe une réelle relation entre nous et l'univers. Ce sont mes lectures de Pauwels, Bergier, Fort, ainsi que des expériences ésotériques personnelles qui me mènent à le croire. Je crois sinon à la télépathie, du moins à la prière, en tout cas je suis certain que parfois, quand on se concentre assez fort, une énergie sort de notre tête et est captée quelque part.

    Mais ça ne marche pas toujours, naturellement. La vie ne nous fait pas que des cadeaux.

    Les premières énergies qu'on possède, on doit les planter dans son propre esprit, et non être désespérément accroché à la prière, tout le temps.

    L'équilibre entre coeur et esprit... Je vais méditer ça, merci.

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