Le respect de soi est un long chemin complexe. Ma thérapeute me disait souvent que l'on se rencontre dans nos manques, avec les années, je sais qu'elle disait vrai. La force de dire et d'ouvrir sur le sujet te permettra de rencontrer autrement, j'en suis certaine.
Merci pour tes bons mots Mylène! Oui, tu as raison. J'ajouterais qu'il y a des craques dans nos armures, nous humains, et ces craques laissent passer de la lumière mais aussi ce qui obsède les tordus. Mieux vaut colmater les fentes avant de se rendre disponible de nouveau.
La possibilité d'une souffrance n'est pas à venir, elle est déjà là. Comme le dirait Deleuze, il faut laisser passer du chaos libre et venteux. Une belle journée à toi.
C'est intéressant ce que tu dis. Je parlais d'autodéfense relationnelle, avec ma métaphore ; je vois que tu évoques la libre circulation des énergies et des émotions.
Pour faire le pont entre nos interprétations de l'analogie : ces choses sont-elles vraiment différentes ? Bonne question pour tout le monde, et surtout pour un artiste.
Ça m'évoque ces mots de Hemingway : "We are all bitched from the start and you especially have to hurt like hell before you can write seriously. But when you get the damned hurt use it — don’t cheat with it."
Une partie de la souffrance, vrai, il faut faire avec.
L'objet regardé, le sujet n'est pas différent, mais ce qui diffère c'est toujours le point d'observation et de plus, nous avons tous et toutes, des enjeux différents, uniques. Tu demeures la meilleure personne à connaître tes besoins. Tu me fais découvrir les mots d'Hemingway que je connais peu. Merci.
Le respect de soi est un long chemin complexe. Ma thérapeute me disait souvent que l'on se rencontre dans nos manques, avec les années, je sais qu'elle disait vrai. La force de dire et d'ouvrir sur le sujet te permettra de rencontrer autrement, j'en suis certaine.
RépondreSupprimerMerci pour tes bons mots Mylène! Oui, tu as raison. J'ajouterais qu'il y a des craques dans nos armures, nous humains, et ces craques laissent passer de la lumière mais aussi ce qui obsède les tordus. Mieux vaut colmater les fentes avant de se rendre disponible de nouveau.
RépondreSupprimerLa possibilité d'une souffrance n'est pas à venir, elle est déjà là. Comme le dirait Deleuze, il faut laisser passer du chaos libre et venteux. Une belle journée à toi.
RépondreSupprimerC'est intéressant ce que tu dis. Je parlais d'autodéfense relationnelle, avec ma métaphore ; je vois que tu évoques la libre circulation des énergies et des émotions.
RépondreSupprimerPour faire le pont entre nos interprétations de l'analogie : ces choses sont-elles vraiment différentes ? Bonne question pour tout le monde, et surtout pour un artiste.
Ça m'évoque ces mots de Hemingway : "We are all bitched from the start and you especially have to hurt like hell before you can write seriously. But when you get the damned hurt use it — don’t cheat with it."
Une partie de la souffrance, vrai, il faut faire avec.
L'objet regardé, le sujet n'est pas différent, mais ce qui diffère c'est toujours le point d'observation et de plus, nous avons tous et toutes, des enjeux différents, uniques. Tu demeures la meilleure personne à connaître tes besoins. Tu me fais découvrir les mots d'Hemingway que je connais peu. Merci.
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