Je me vois, à cinquante, soixante ans, avec une tête semblable à celle de Karl Ove Knausgård, dans un appartement, dans un pays nordique ; avec l'écriture pour me réchauffer. Cette récurrente vision de moi-même a quelque chose de légèrement troublant, car elle doit être une projection très symbolique.
À la décharge de mon inconscient, il a une belle et bonne tête !
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