Je pense qu'il est important de les étudier, ces biais cognitifs.
À quand, à quand ?
Raisonne-t-on froidement comme un robot, une fois qu'on les a assimilés, qu'on sait les débusquer, qu'on n'est plus sous leur emprise ?
L'un d'eux retient mon attention particulièrement. On le retrouve plutôt ici : c'est le biais de négativité.
J'ai beau être optimiste, il est vrai que des corpuscules de négativité, qui bientôt enfleront, peuvent s'immiscer dans nos réflexions. C'est, ironiquement, en réfléchissant à des choses positives que j'ai pris conscience de ce biais.
Je pensais qu'on ne pouvait pas, du reste, parler de biais dans notre langue. Je me fourvoyais.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire