Poème de l'arbre coupé
Je m'accroupis
Je m'acropole
J'ai les neurones en molle farandole...
Je m'assoupis, comme une coupole
Le coeur chauve, la tête molle
Je suis fatigué...
De travailler...
D'être travaillé...
Par la fatigue...
Comme un tigre
Qui se livre
À l'association libre !
Je n'ai pas encore eu le temps de recopier le texte que tu m'a partagé... mais je vais le faire. J'aime beaucoup celui-ci. La fatigue ma parle ces temps-ci. Merci.
RépondreSupprimerContent que ça te parle. Me sens moins seul ! Héhé.
RépondreSupprimerJe ne sais pas ce qu'il y a dans l'air, mais l'air est pesant sur nos épaules, beaucoup de changements mondiaux, affecte les humeurs. Je n'ai jamais vu autant de gens épuisés dans une même période. Il y a des vibrations moches. Prends soins de toi.
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RépondreSupprimerUne de mes chansons favorites sur ce thème...
Ah! Délicieuse Ringer... merci.
SupprimerFatigué d'être fatigué... C'est bien ça.
RépondreSupprimerSuperbe poème explosé au rythme accéléré de téléphérique débridé avec les sueurs d'un rêve. Haletant! Poème entre Hitchcok et Jules Laforgue ( "Le droit à la paresse")!
RépondreSupprimerT'es trop gentil, Mokhtar, et puis en plus, tes commentaires sont des poèmes !
RépondreSupprimerça augure bon, ces états de fatigue peuvent être liés à ce qui macèrent en soi, non?
RépondreSupprimerTu as raison... :-)
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