Puisque le dernier post est fermé aux commentaires je force ici le passage. Rien à faire. Excellente dynamique d'été que l'écriture avec ses ratures, n'est pas blogueur qui veut sans rayer ses cartes en large et en travers. L'écriture de poème debout dans le bus en mouvement rien de tel, faudrait juste voir à ajuster la mise au point photographique qu'on soit en mesure de pouvoir les décrypter sous- verre, dans la vitrine d'un musée passablement lisse et ennuyeux où seules vos ratures rappelleraient aux visiteurs avides dans quel genre de fiacre on écrivait jadis le mouvement hors mode binaire.
D'habitude, j'ai honte de mes ratures. Et, abominable que je suis, je ne profite pas suffisamment de l'été et du soleil. On me voit donc rarement en costume de bain rayé...
L'écriture debout, dans le bus, ça va ! Seulement, n'ayant pas d'appui, j'ai toujours peur que ça freine sec, et, avec mon crayon, de suriner quelqu'un accidentellement dans l'oeil, puis qu'une horde de papillons de feu composant un immense dragon sorte dudit globe oculaire, et que ces flammes empennées virevoltent et aillent choir sur les visages de tous les passagers, lesquelles physionomies fondraient placidement, onctueusement, sans soulèvement aucun.
Faute d'un numériseur, j'ai dû photographier avec mon téléphone portable. C'est flou, mais ça me convient. Ça fait encore plus nébuleux, la calligraphie l'étant déjà.
Mode binaire ! Oui. Lorsque l'usager moyen sera plus rapide au clavier que je ne le suis présentement...
ratures = été = rayures mmh, d'accord. Une image de vieille cabine de plage me vient à l'esprit, à l'apoque om les grrrandes vacances symbiosait avec ce qu'on appelait les congés payés. Non les congés rayés, ça n'a aucun sens à moins d'être en taule. Ce qui arrive, d'être piégé.
J'imaginais les flammes du dragon jaillissant de l'orbite là, devant le monde apathique compatissant pour tes recherche du mot juste. Bah ! vaste monde prêt à accueillir toutes nos ratures, j'aime bien l'écriture sur papier, ça change, ça matérialise un peu mieux les individus. Besoin de matérialisr moi en ce moment, alors j'approuve au centuple tes rayures d'été ! Juste j'étais en train de décrypter l'écrit avant la traduction binaire, façon chercheuse d'or et la lentille a focusée flou au point culminant de ma scrupuleuse fouille graphologique. Il y avait de quoi râler !
:-)
Pleins d'images à te lire en tout cas, et ce n'est pas là ma première tentative, le poème sur la haine chez Blue m'a beaucoup marqué.
Voici une photographie de moi, croqué sur le vif la dernière fois où j'étais hors de mon domicile. On remarquera que j'ai perdu équilibre à cet instant, heureusement que je ne tenais pas de crayon, héhé.
Dis, tu connais la graphologie alors ? C'est un truc qui m'avait intéressé, plus jeune, j'avais songé à l'étudier. Qu'est-ce que ça dit sur moi ? Je pense qu'il y a peut-être un biais, une distorsion non négligeable : plus ma vitesse au clavier croît avec le temps, plus ma calligraphie s'allonge, s'étire, jusqu'à devenir une onde, parce que je suis impatient, vexé d'écrire si lentement alors qu'en pianotant je suis autrement plus efficace.
Soupère! si ce poème t'a plu. En fait, je ne devrais pas dire soupère, c'était pas la grande joie, ce qui habitait hermétiquement ce texte. Mais on se comprend. Le grand prêtre Boris Cyrulnik dirait que c'est une esquisse résiliente.
Dis donc Guillaume, n'envoie pas tes photos de bain rayé à des inconnues comme ça, on va se croire sur un site de rencontres bientôt ! Est-ce bien le même homme que sur la photo d'happy birthday ? j'émets quelques doute, puis-je ? le contre-jour joue en sa faveur à c't homme là, on dirait ! :-))
Je dois répondre par la négative à la question sur la graphologie, j'ai jamais pris trop le temps de déchiffrer une autre écriture que la mienne qui ressemble proprement à la tienne et penchée de préférence. Je ne pourrais donc pas t'éclairer dans ce mare de café, mais ce doit être assez passionnant à étudier pour devenir son propre gourou ! j'en ai gratté quelque spages dernièrement, ça faisait un bail mais j'étais dans l'urgence et rien ne vaut un bon papier crayon, dégainable en toute circonstance.
Le poème non effectivement n'est pas à prendre à la légère, il envoie des choses criantes, hurlantes, les jettent à bas et c'est peu dire comme j'ai percuté des choses en ce mois de juillet de cet ordre là. Alors écrire vite, oui, mal,tordu, couché, sur la route, à en saigner les plaies, égorger ses vipères, ça me parle.
Un vagissant convoi de poèmes gluants, dans ce style-là, devrait arriver bientôt... un jour... qui sait... dans quelques mois... un jour... peut-être... bientôt... je l'espère... à bientôt...
Puisque le dernier post est fermé aux commentaires je force ici le passage. Rien à faire.
RépondreSupprimerExcellente dynamique d'été que l'écriture avec ses ratures, n'est pas blogueur qui veut sans rayer ses cartes en large et en travers. L'écriture de poème debout dans le bus en mouvement rien de tel, faudrait juste voir à ajuster la mise au point photographique qu'on soit en mesure de pouvoir les décrypter sous- verre, dans la vitrine d'un musée passablement lisse et ennuyeux où seules vos ratures rappelleraient aux visiteurs avides dans quel genre de fiacre on écrivait jadis le mouvement hors mode binaire.
Salutations sincères.
;-)
Hellô Lorka!
RépondreSupprimerD'habitude, j'ai honte de mes ratures. Et, abominable que je suis, je ne profite pas suffisamment de l'été et du soleil. On me voit donc rarement en costume de bain rayé...
L'écriture debout, dans le bus, ça va ! Seulement, n'ayant pas d'appui, j'ai toujours peur que ça freine sec, et, avec mon crayon, de suriner quelqu'un accidentellement dans l'oeil, puis qu'une horde de papillons de feu composant un immense dragon sorte dudit globe oculaire, et que ces flammes empennées virevoltent et aillent choir sur les visages de tous les passagers, lesquelles physionomies fondraient placidement, onctueusement, sans soulèvement aucun.
Faute d'un numériseur, j'ai dû photographier avec mon téléphone portable. C'est flou, mais ça me convient. Ça fait encore plus nébuleux, la calligraphie l'étant déjà.
Mode binaire ! Oui. Lorsque l'usager moyen sera plus rapide au clavier que je ne le suis présentement...
ratures = été = rayures mmh, d'accord. Une image de vieille cabine de plage me vient à l'esprit, à l'apoque om les grrrandes vacances symbiosait avec ce qu'on appelait les congés payés. Non les congés rayés, ça n'a aucun sens à moins d'être en taule. Ce qui arrive, d'être piégé.
RépondreSupprimerJ'imaginais les flammes du dragon jaillissant de l'orbite là, devant le monde apathique compatissant pour tes recherche du mot juste. Bah ! vaste monde prêt à accueillir toutes nos ratures, j'aime bien l'écriture sur papier, ça change, ça matérialise un peu mieux les individus. Besoin de matérialisr moi en ce moment, alors j'approuve au centuple tes rayures d'été !
Juste j'étais en train de décrypter l'écrit avant la traduction binaire, façon chercheuse d'or et la lentille a focusée flou au point culminant de ma scrupuleuse fouille graphologique. Il y avait de quoi râler !
:-)
Pleins d'images à te lire en tout cas, et ce n'est pas là ma première tentative, le poème sur la haine chez Blue m'a beaucoup marqué.
Voici une photographie de moi, croqué sur le vif la dernière fois où j'étais hors de mon domicile. On remarquera que j'ai perdu équilibre à cet instant, heureusement que je ne tenais pas de crayon, héhé.
RépondreSupprimerDis, tu connais la graphologie alors ? C'est un truc qui m'avait intéressé, plus jeune, j'avais songé à l'étudier. Qu'est-ce que ça dit sur moi ? Je pense qu'il y a peut-être un biais, une distorsion non négligeable : plus ma vitesse au clavier croît avec le temps, plus ma calligraphie s'allonge, s'étire, jusqu'à devenir une onde, parce que je suis impatient, vexé d'écrire si lentement alors qu'en pianotant je suis autrement plus efficace.
Soupère! si ce poème t'a plu. En fait, je ne devrais pas dire soupère, c'était pas la grande joie, ce qui habitait hermétiquement ce texte. Mais on se comprend. Le grand prêtre Boris Cyrulnik dirait que c'est une esquisse résiliente.
Dis donc Guillaume, n'envoie pas tes photos de bain rayé à des inconnues comme ça, on va se croire sur un site de rencontres bientôt !
RépondreSupprimerEst-ce bien le même homme que sur la photo d'happy birthday ? j'émets quelques doute, puis-je ? le contre-jour joue en sa faveur à c't homme là, on dirait ! :-))
Je dois répondre par la négative à la question sur la graphologie, j'ai jamais pris trop le temps de déchiffrer une autre écriture que la mienne qui ressemble proprement à la tienne et penchée de préférence. Je ne pourrais donc pas t'éclairer dans ce mare de café, mais ce doit être assez passionnant à étudier pour devenir son propre gourou ! j'en ai gratté quelque spages dernièrement, ça faisait un bail mais j'étais dans l'urgence et rien ne vaut un bon papier crayon, dégainable en toute circonstance.
Le poème non effectivement n'est pas à prendre à la légère, il envoie des choses criantes, hurlantes, les jettent à bas et c'est peu dire comme j'ai percuté des choses en ce mois de juillet de cet ordre là. Alors écrire vite, oui, mal,tordu, couché, sur la route, à en saigner les plaies, égorger ses vipères, ça me parle.
Héhé, non, non, franchement, ce n'est pas moi.
RépondreSupprimer...Je suis beaucoup plus beau que ça !
OKAY. Soyons z'humbles.
Dommage ! J'adorerais qu'on psychanalyse mon écriture ! Qu'on me graphologise !
Un vagissant convoi de poèmes gluants, dans ce style-là, devrait arriver bientôt... un jour... qui sait... dans quelques mois... un jour... peut-être... bientôt... je l'espère... à bientôt...
:-)
RépondreSupprimerà bientôt Guillaume.
Au plaisir de converser dans ton espace.
lorka